Je vous présente « The » livre qui a été pour moi une réelle révélation dans ma vie : 𝑪𝒐𝒏𝒗𝒆𝒓𝒔𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒂𝒗𝒆𝒄 𝑫𝒊𝒆𝒖 • 𝑢𝑛 𝑑𝑖𝑎𝑙𝑜𝑔𝑢𝑒 ℎ𝑜𝑟𝑠 𝑑𝑢 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑢𝑛 • de Neale Donald Walsch
Même s’il y a de toutes petites références à la religion, Dieu peut être ici imaginé comme l’être divin qui demeure en chacun de nous et qui pourrait nous donner toutes nos réponses si on L'(s’) écoutait vraiment.
Pour la petite histoire, j’avais acheté le tome 1 en livre de poche en 2017. Je travaillais à l’époque sur mon problème de dépendance affective et on me l’avait conseillé. Mais je n’ai pas accroché à ce moment-là. Du coup, il était resté dormir dans ma bibliothèque. Et au bout d’un temps, je l’ai mis en vente sur internet.
Début 2020, quelqu’un l’a commandé et ce bouquin m’est retombé dans les mains. Je passais à l’époque par une phase difficile… J’ai relu le résumé au dos du livre et cette fois-ci, cela a suscité grandement ma curiosité.
Voici un extrait :
» (…) Neale Donald Walsh approche la cinquantaine et fait le bilan de sa vie : il vient de perdre son travail, ses quatre mariages se sont soldés par des échecs et sa santé est défaillante. Pris de colère, il écrit une lettre pleine de doutes à Dieu. Et là, le miracle se produit ! « Dieu » lui répond de façon claire et compréhensible. Un entretien qui durera plusieurs années, où les questions les plus intimes et les plus énigmatiques trouveront réponse pourquoi suis-je si malheureux ? Pourquoi l’homme doit-il souffrir ? Qu’est-ce que le bien et le mal ? Les interrogations troublantes que pose cet ouvrage ne doivent pas faire oublier sa haute teneur spirituelle. »
– Source : Google Books
Avant de l’envoyer à mon acheteur, je l’ai lu. J’ai été complètement prise par ce dialogue qui soulèvent de nombreuses problématiques que l’on connaît tous ici bas. Une autre façon de voir les choses et surtout une autre façon de les interpréter.
Notamment sur cette notion de dualité entre le bien et le mal qui nous amène à juger tous les comportements et toutes les situations. Alors qu’en réalité, il n’y a ni de bonnes ni de mauvaises personnes, il n’y a que du bien-être ou du mal-être.